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Filament ASA résistant aux UV et intempéries

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Qu'est-ce que le filament ASA ?

Un thermoplastique taillé pour l'extérieur

Le filament asa, ou Acrylonitrile Styrène Acrylate, n'est pas un simple consommable standard. C'est un thermoplastique technique pur et dur. Les ingénieurs l'ont conçu dès le départ pour une mission précise : survivre dehors là où d'autres échouent.

Voyez-le comme le cousin surdoué de l'ABS. Il ne cherche pas à le remplacer partout, mais il prend le relais quand les conditions environnementales difficiles entrent en jeu. l'ASA tient bon.

Si votre pièce doit affronter la pluie, le soleil ou le froid sans broncher, l'ASA est souvent la réponse. C'est un matériau qui conserve son apparence et sa solidité sur le long terme.

La chimie au service de la robustesse

Sa structure est un terpolymère, un assemblage malin de trois blocs distincts. L'acrylonitrile assure la base, offrant une résistance chimique et une stabilité redoutable. C'est le bouclier contre les agressions.

Ensuite, le styrène entre en scène pour structurer l'ensemble. Il donne au matériau sa rigidité et sa finition brillante si caractéristique. C'est littéralement la colonne vertébrale de la pièce imprimée.

Enfin, l'acrylate est l'ingrédient secret qui change tout. Il confère à l'ASA sa fameuse résistance aux impacts et, surtout, sa capacité à encaisser les rayons UV sans se dégrader. C'est là que la magie opère.

Plus qu'un simple plastique, un matériau d'ingénierie

Oubliez les figurines ou les gadgets inutiles avec ce matériau. On parle ici de pièces d'utilisation finale et de prototypage fonctionnel sérieux. Que ce soit pour de l'outillage ou des boîtiers, c'est fait pour des pièces qui travaillent.

Sa force réside aussi dans sa stabilité dimensionnelle exceptionnelle. Une pièce en ASA garde sa forme et ses dimensions, même sous contrainte thermique ou mécanique, ce qui est gage de fiabilité.

Choisir l'ASA, c'est finalement opter pour la tranquillité d'esprit sur vos projets. On imprime une pièce et on sait qu'elle fera son travail pendant longtemps, sans mauvaise surprise.

L'ASA, le vrai successeur de l'ABS ?

Maintenant que les bases sont posées, la vraie question se pose : faut-il jeter ses bobines d'ABS ? Le filament asa s'impose aujourd'hui comme le standard technique, rendant son prédécesseur presque obsolète pour l'impression 3D exigeante. Voyons pourquoi ce matériau change la donne.

La résistance aux UV : le KO technique

L'ABS possède un défaut majeur que beaucoup d'utilisateurs sous-estiment encore. Une pièce imprimée laissée en plein soleil jaunit rapidement et perd son éclat. Pire, la matière devient fragile, cassante comme du verre, ruinant votre travail.

En face, l'ASA a été chimiquement conçu pour résister à cette agression. Il encaisse l'exposition prolongée aux UV sans changer de couleur ni perdre ses propriétés mécaniques. C'est toute la différence entre une pièce durable et un déchet.

Pour toute application extérieure, le choix est donc vite fait et sans appel. L'ASA gagne par KO, il n'y a même pas de débat possible.

Duel mécanique : des performances légèrement supérieures

Sur le papier, les chiffres sont clairs et ne mentent pas. L'ASA affiche une résistance à la tension légèrement meilleure que l'ABS-M30 (33 MPa contre 32 MPa). Ce n'est pas énorme, mais c'est un plus appréciable.

La différence est plus notable sur la résistance aux chocs physiques. Avec une valeur Izod de 321 J/m contre 300 J/m pour l'ABS, l'ASA est objectivement plus tenace. Il encaisse mieux les coups sans se fissurer.

Il montre aussi une meilleure élongation à la rupture (9% vs 7%). En clair, il se déformera un peu plus avant de casser, ce qui lui donne une meilleure ductilité.

Le warping : un combat plus facile à gagner

Soyons honnêtes, l'ASA n'est pas aussi simple que du PLA. Il peut se déformer au refroidissement, c'est le fameux phénomène de warping. Il faut prendre des précautions, comme l'usage d'une enceinte.

Pourtant, beaucoup de makers s'accordent à dire que son retrait thermique est plus faible que celui de l'ABS. Le risque de décollement des coins sur les grandes pièces est donc réduit significativement.

Cette meilleure stabilité rend l'impression de pièces volumineuses plus fiable et moins stressante. C'est un avantage pratique qui pèse lourd dans la balance au quotidien.

Comment réussir vos impressions avec un filament ASA ?

Convaincu ? Parfait. Mais avant de lancer votre première impression, il y a quelques règles à connaître.

Les réglages de température à maîtriser

L'ASA aime la chaleur, c'est indéniable. La température de la buse doit se situer entre 245 et 260°C pour fondre correctement. En dessous de cette plage, l'adhésion inter-couches sera tout simplement mauvaise.

Le plateau n'est pas en reste non plus. Visez une température de plateau chauffant entre 80 et 100°C. C'est indispensable pour que la première couche colle vraiment et pour limiter le risque de décollement.

Enfin, pensez à couper ou réduire drastiquement la ventilation de la pièce pour assurer la solidité des premières couches.

L'environnement d'impression : votre meilleur allié

Le conseil numéro un est simple : utilisez impérativement une chambre d'impression fermée. Une enceinte maintient une température ambiante élevée et stable, ce qui reste le secret absolu pour éviter les fissures frustrantes sur vos pièces.

Si votre imprimante est ouverte, bricolez un caisson temporaire. L'objectif est de protéger l'impression des courants d'air et des variations de température de la pièce, qui sont les ennemis jurés de la réussite.

Soignez l'adhérence au plateau dès le départ. Du ruban Kapton, de la bonne colle en bâton ou une solution adhésive dédiée vous évitera bien des maux de tête inutiles.

Santé et sécurité : ne négligez pas la ventilation

Parlons franchement. Comme l'ABS, le filament asa dégage des émissions de styrène en fondant. Cela s'accompagne souvent d'une odeur de plastique chaud assez caractéristique qu'on ne peut ignorer.

Il est donc fortement déconseillé d'imprimer dans une pièce à vivre mal aérée. Une ventilation adéquate est absolument nécessaire pour évacuer ces composés organiques volatils et éviter de respirer un air chargé toute la journée.

L'idéal reste une imprimante équipée d'un filtre à charbon actif ou HEPA, ou alors placée dans un atelier ou un garage bien ventilé pour limiter l'exposition directe.

Les applications idéales et la finition des pièces en ASA

Pour quels projets utiliser ce matériau technique ?

Tout ce qui vit dehors réclame ce matériau. Songez aux pièces pour l'automobile comme des coques de rétroviseur qui encaissent les UV. C'est idéal pour vos supports de jardinage exposés. Les boîtiers pour des projets électroniques extérieurs en profitent aussi.

C'est aussi un excellent choix pour l'outillage sur mesure. Vos gabarits doivent résister à l'usure quotidienne. Ils encaissent les impacts dans un atelier sans faiblir.

En bref, dès qu'une pièce doit être robuste et durable face aux éléments, le filament asa s'impose. L'ASA devient un candidat de premier choix.

Le post-traitement pour un rendu professionnel

Une pièce brute en ASA est déjà très propre. Mais elle peut être poncée ou usinée facilement. Cela permet d'ajuster les dimensions ou lisser les surfaces.

Son véritable atout, c'est sa réaction à l'acétone. Le lissage à la vapeur d'acétone fait disparaître les lignes de couches. Cela donne une finition ultra lisse et brillante. On obtient un rendu digne d'une pièce industrielle.

Si vous voulez peindre vos pièces, c'est possible. Appliquez simplement un primaire d'accrochage pour plastique et le tour est joué.

Le coût de la durabilité

Oui, l'ASA est plus cher que l'ABS. Une bobine d'un kilo peut coûter presque le double. Comptez autour de 33€ contre 15-20€ pour l'ABS.

Mais il faut voir ça comme un investissement. Le coût de réimpression d'une pièce en ABS qui a jauni ou cassé après six mois au soleil est bien plus élevé. Vous évitez de refaire le travail deux fois. C'est un calcul vite fait.

Avec l'ASA, vous payez pour la performance et la longévité. C'est le prix de la tranquillité.

Qu'est-ce que le filament ASA ?

Un thermoplastique taillé pour l'extérieur

Le filament asa, ou Acrylonitrile Styrène Acrylate, n'est pas un simple consommable standard. C'est un thermoplastique technique pur et dur. Les ingénieurs l'ont conçu dès le départ pour une mission précise : survivre dehors là où d'autres échouent.

Voyez-le comme le cousin surdoué de l'ABS. Il ne cherche pas à le remplacer partout, mais il prend le relais quand les conditions environnementales difficiles entrent en jeu. l'ASA tient bon.

Si votre pièce doit affronter la pluie, le soleil ou le froid sans broncher, l'ASA est souvent la réponse. C'est un matériau qui conserve son apparence et sa solidité sur le long terme.

La chimie au service de la robustesse

Sa structure est un terpolymère, un assemblage malin de trois blocs distincts. L'acrylonitrile assure la base, offrant une résistance chimique et une stabilité redoutable. C'est le bouclier contre les agressions.

Ensuite, le styrène entre en scène pour structurer l'ensemble. Il donne au matériau sa rigidité et sa finition brillante si caractéristique. C'est littéralement la colonne vertébrale de la pièce imprimée.

Enfin, l'acrylate est l'ingrédient secret qui change tout. Il confère à l'ASA sa fameuse résistance aux impacts et, surtout, sa capacité à encaisser les rayons UV sans se dégrader. C'est là que la magie opère.

Plus qu'un simple plastique, un matériau d'ingénierie

Oubliez les figurines ou les gadgets inutiles avec ce matériau. On parle ici de pièces d'utilisation finale et de prototypage fonctionnel sérieux. Que ce soit pour de l'outillage ou des boîtiers, c'est fait pour des pièces qui travaillent.

Sa force réside aussi dans sa stabilité dimensionnelle exceptionnelle. Une pièce en ASA garde sa forme et ses dimensions, même sous contrainte thermique ou mécanique, ce qui est gage de fiabilité.

Choisir l'ASA, c'est finalement opter pour la tranquillité d'esprit sur vos projets. On imprime une pièce et on sait qu'elle fera son travail pendant longtemps, sans mauvaise surprise.

L'ASA, le vrai successeur de l'ABS ?

Maintenant que les bases sont posées, la vraie question se pose : faut-il jeter ses bobines d'ABS ? Le filament asa s'impose aujourd'hui comme le standard technique, rendant son prédécesseur presque obsolète pour l'impression 3D exigeante. Voyons pourquoi ce matériau change la donne.

La résistance aux UV : le KO technique

L'ABS possède un défaut majeur que beaucoup d'utilisateurs sous-estiment encore. Une pièce imprimée laissée en plein soleil jaunit rapidement et perd son éclat. Pire, la matière devient fragile, cassante comme du verre, ruinant votre travail.

En face, l'ASA a été chimiquement conçu pour résister à cette agression. Il encaisse l'exposition prolongée aux UV sans changer de couleur ni perdre ses propriétés mécaniques. C'est toute la différence entre une pièce durable et un déchet.

Pour toute application extérieure, le choix est donc vite fait et sans appel. L'ASA gagne par KO, il n'y a même pas de débat possible.

Duel mécanique : des performances légèrement supérieures

Sur le papier, les chiffres sont clairs et ne mentent pas. L'ASA affiche une résistance à la tension légèrement meilleure que l'ABS-M30 (33 MPa contre 32 MPa). Ce n'est pas énorme, mais c'est un plus appréciable.

La différence est plus notable sur la résistance aux chocs physiques. Avec une valeur Izod de 321 J/m contre 300 J/m pour l'ABS, l'ASA est objectivement plus tenace. Il encaisse mieux les coups sans se fissurer.

Il montre aussi une meilleure élongation à la rupture (9% vs 7%). En clair, il se déformera un peu plus avant de casser, ce qui lui donne une meilleure ductilité.

Le warping : un combat plus facile à gagner

Soyons honnêtes, l'ASA n'est pas aussi simple que du PLA. Il peut se déformer au refroidissement, c'est le fameux phénomène de warping. Il faut prendre des précautions, comme l'usage d'une enceinte.

Pourtant, beaucoup de makers s'accordent à dire que son retrait thermique est plus faible que celui de l'ABS. Le risque de décollement des coins sur les grandes pièces est donc réduit significativement.

Cette meilleure stabilité rend l'impression de pièces volumineuses plus fiable et moins stressante. C'est un avantage pratique qui pèse lourd dans la balance au quotidien.

Comment réussir vos impressions avec un filament ASA ?

Convaincu ? Parfait. Mais avant de lancer votre première impression, il y a quelques règles à connaître.

Les réglages de température à maîtriser

L'ASA aime la chaleur, c'est indéniable. La température de la buse doit se situer entre 245 et 260°C pour fondre correctement. En dessous de cette plage, l'adhésion inter-couches sera tout simplement mauvaise.

Le plateau n'est pas en reste non plus. Visez une température de plateau chauffant entre 80 et 100°C. C'est indispensable pour que la première couche colle vraiment et pour limiter le risque de décollement.

Enfin, pensez à couper ou réduire drastiquement la ventilation de la pièce pour assurer la solidité des premières couches.

L'environnement d'impression : votre meilleur allié

Le conseil numéro un est simple : utilisez impérativement une chambre d'impression fermée. Une enceinte maintient une température ambiante élevée et stable, ce qui reste le secret absolu pour éviter les fissures frustrantes sur vos pièces.

Si votre imprimante est ouverte, bricolez un caisson temporaire. L'objectif est de protéger l'impression des courants d'air et des variations de température de la pièce, qui sont les ennemis jurés de la réussite.

Soignez l'adhérence au plateau dès le départ. Du ruban Kapton, de la bonne colle en bâton ou une solution adhésive dédiée vous évitera bien des maux de tête inutiles.

Santé et sécurité : ne négligez pas la ventilation

Parlons franchement. Comme l'ABS, le filament asa dégage des émissions de styrène en fondant. Cela s'accompagne souvent d'une odeur de plastique chaud assez caractéristique qu'on ne peut ignorer.

Il est donc fortement déconseillé d'imprimer dans une pièce à vivre mal aérée. Une ventilation adéquate est absolument nécessaire pour évacuer ces composés organiques volatils et éviter de respirer un air chargé toute la journée.

L'idéal reste une imprimante équipée d'un filtre à charbon actif ou HEPA, ou alors placée dans un atelier ou un garage bien ventilé pour limiter l'exposition directe.

Les applications idéales et la finition des pièces en ASA

Pour quels projets utiliser ce matériau technique ?

Tout ce qui vit dehors réclame ce matériau. Songez aux pièces pour l'automobile comme des coques de rétroviseur qui encaissent les UV. C'est idéal pour vos supports de jardinage exposés. Les boîtiers pour des projets électroniques extérieurs en profitent aussi.

C'est aussi un excellent choix pour l'outillage sur mesure. Vos gabarits doivent résister à l'usure quotidienne. Ils encaissent les impacts dans un atelier sans faiblir.

En bref, dès qu'une pièce doit être robuste et durable face aux éléments, le filament asa s'impose. L'ASA devient un candidat de premier choix.

Le post-traitement pour un rendu professionnel

Une pièce brute en ASA est déjà très propre. Mais elle peut être poncée ou usinée facilement. Cela permet d'ajuster les dimensions ou lisser les surfaces.

Son véritable atout, c'est sa réaction à l'acétone. Le lissage à la vapeur d'acétone fait disparaître les lignes de couches. Cela donne une finition ultra lisse et brillante. On obtient un rendu digne d'une pièce industrielle.

Si vous voulez peindre vos pièces, c'est possible. Appliquez simplement un primaire d'accrochage pour plastique et le tour est joué.

Le coût de la durabilité

Oui, l'ASA est plus cher que l'ABS. Une bobine d'un kilo peut coûter presque le double. Comptez autour de 33€ contre 15-20€ pour l'ABS.

Mais il faut voir ça comme un investissement. Le coût de réimpression d'une pièce en ABS qui a jauni ou cassé après six mois au soleil est bien plus élevé. Vous évitez de refaire le travail deux fois. C'est un calcul vite fait.

Avec l'ASA, vous payez pour la performance et la longévité. C'est le prix de la tranquillité.

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